Alberto Cont
du
3 mars au 14 avril 2001
Alberto Cont reste fidèle à sa fascination pour les couleurs, très souvent artificielles, vives et éclatantes, bien plus inspirées des lumières de la Ville ou des matières plastiques de l’Industrie que de la nature.
Ici, il introduit un élément nouveau dans la composition, en opposant des systèmes différents, des séquences géométriques face à des parties plus peintes, plus organiques.
Il crée ainsi un dialogue, un jeu d’interaction, à l’intérieur duquel notre regard se promène et s’interroge.
On comprend alors, son espérance de nous convaincre que tout, en peinture, est encore possible.