Vittorio Santoro «Le hibou tourne la tête pour regarder ailleurs»
La Fondation d’entreprise Ricard est heureuse de vous présenter la première exposition solo institutionnelle à Paris de Vittorio Santoro.
La Fondation d’entreprise Ricard est heureuse de vous présenter la première exposition solo institutionnelle à Paris de Vittorio Santoro.
Si une exposition est la mise en perspective d’une histoire et d’une lecture des formes, si le regard jeté de l’étranger sur l’étranger est nécessairement précaire, il produit par ricochet un jeu de points de vue mobiles. Au loin, une île ! est, dans ce sens, une exposition consacrée à la scène artistique britannique, même si une telle scène ne peut exister en elle-même et pour elle-même mais peut être en revanche un objet de description, d’analyse et de fantasme.
Guillaume Leblon (Lille, 1971), une des voix les plus singulières du
panorama artistique international. Son exposition personnelle à la
Fondation d’entreprise Ricard – la première dédiée par une institution
parisienne au travail de l’artiste – coïncide avec sa nomination au
Prix Marcel Duchamp 2011 et avec sa participation à la 11ème édition de
la Biennale de Lyon.
« Le bar européen est un poisson principalement de haute mer qui entre parfois aux eaux douces et saumâtres. Ses habitats incluent des estuaires, des lagunes, des eaux côtières et des rivières (fleuves). Il est trouvé dans les eaux dans et autour de l’Europe. C’est surtout un chasseur de nuit, se nourrissant du petit poisson, polychaetes, des céphalopodes et des crustacés. »
L’exposition Rituels. propose un ensemble d’œuvres qui manifeste par leur signification ou leur mode d’élaboration une possible célébration contemporaine de la nature.
Cette exposition se consacre à l’art « WANI ». Ce néologisme est la contraction orale de la formule : « OANI », pour « Objet Artistique Non Identifié », ou encore « Œuvre d’Art Non Identifiable ».
Pour sa première exposition personnelle dans une institution parisienne, Éric Baudart présente un ensemble de pièces qui témoignent d’une pratique instinctive constante où se combinent jeux de matière, texture, reflets, illusion et détournement. Ainsi la « grande déchirure » (Big Rip), ce modèle cosmologique prédisant que la densité de l’univers se mettra à augmenter avec le temps, trouvera un écho tout particulier, d’une part dans le choix des œuvres, d’autre part par leur mise en tension à la Fondation d’entreprise Ricard.